Recherche documentaire
La Fondation Médéric Alzheimer diffuse chaque mois une revue de presse nationale et internationale, 100 % digitale. L’équipe vous propose une sélection d’articles incontournables pour accéder à l’essentiel de l’information en un clic.
C’est une veille à 360 °qui s’intéresse aux personnes vivant avec la maladie d’Alzheimer et à leurs aidants, qu’ils soient familiaux, bénévoles ou professionnels mais aussi à l’environnement médical, social, juridique, politique et économique de la maladie.
-
03 juin 2020
Le concept de maladie d’Alzheimer : qu’en pense une psychanalyste ?
Sarah Pringault, doctorante en psychologie au laboratoire de recherches en psychopathologie, nouveaux symptômes et lien social de l’Université de Rennes 2, sous la direction du Pr Michel Grollier, reprend dans sa thèse des arguments du « mythe Alzheimer » : la maladie reposerait à l’origine non sur une véritable découverte scientifique mais sur une invention nosographique (description et classification des maladies d’après leurs…- Recherche
-
03 juin 2020
Diagnostic précoce en médecine de ville : réseaux locaux et télémédecine
Au Japon, le Pr Masayuki Satoh, du département de prévention et traitement de la démence à l’Université de Mie (Tsu), a construit un système de détection de la démence en médecine de ville. Il a placé un médecin promoteur de réseau Alzheimer, dans 4 villes de la préfecture de Mie. Sur demande de personnes malades ou de leurs aidants, les…- Recherche
-
03 juin 2020
Détection par des biomarqueurs : comment communiquer les résultats à des personnes sans troubles cognitifs ?
La détection par des biomarqueurs du risque potentiel de développer la maladie d’Alzheimer est à ce jour réservée à la recherche. Un groupe de travail, coordonné par Carol Brayne, de l’Institut de santé publique de l’Université de Cambridge (Royaume-Uni), en collaboration avec des experts néerlandais, britanniques, de la Fondation Pasqual Maragall (Espagne) et d’Alzheimer Europe, a identifié les attentes des…- Recherche
-
02 juin 2020
La quête des biomarqueurs sanguins pour une médecine de précision
Plus de 10% des personnes âgées de plus de 65 ans sont atteintes d’une maladie neurodégénérative, rappelle un groupe expert international coordonné par le Pr Harald Hampel, de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (INSERM U1127, CNRS UMR 7225), et de la chaire AXA-Université Pierre-et-Marie-Curie à Paris. Dans le cadre de l’Initiative pour une médecine de précision, le…- Recherche
-
02 juin 2020
Biomarqueurs du liquide céphalo-rachidien : est-ce utile pour le pronostic (2) ?
Un groupe expert d’économistes de la santé (Pays-Bas, Suède, Allemagne, Slovénie, Espagne) a construit un modèle de simulation mathématique pour estimer le rapport coût-efficacité d’un test par biomarqueur du liquide céphalo-rachidien (LCR) par rapport à la pratique médicale courante, dans une perspective sanitaire (coûts médicaux et paramédicaux) et avec un horizon temporel de 5 ans. Le test par biomarqueur améliore…- Recherche
-
02 juin 2020
Biomarqueurs du liquide céphalo-rachidien : est-ce utile pour le pronostic (1)?
Lindsay Clarke et ses collègues, du centre Alzheimer de l’Université du Wisconsin, ont constitué une cohorte de 392 personnes asymptomatiques, âgées en moyenne de 61 ans, (Wisconsin Registry for Alzheimer’s Prevention), ayant eu au moins une ponction lombaire et 2 évaluations neuropsychologiques (une fois par an ou une fois tous les 2 ans). 69% ont des biomarqueurs négatifs (stade préclinique…- Recherche
-
02 juin 2020
Biomarqueurs du liquide céphalo-rachidien : la quête de la validation
Les biomarqueurs du liquide céphalo-rachidien pour le diagnostic de la maladie d’Alzheimer restent réservés à la recherche. 25 ans après leur découverte, leur dosage n’est pas suffisamment reproductible d’un laboratoire d’analyse à l’autre. La sensibilité et la spécificité de ces tests ne sont pas suffisantes pour qu’ils soient recommandés en pratique médicale courante à des fins de détection systématique. La…- Recherche
-
02 juin 2020
Un diagnostic précoce centré sur le patient : pourquoi ?
Pour le Pr Pierre Krolak-Salmon, neurologue et gériatre, enseignant chercheur à l’Université Claude Bernard Lyon 1 et responsable du centre mémoire de ressources et de recherche (CMRR) de Lyon, le premier intérêt d’un est d’écarter des diagnostics différentiels curables, notamment un syndrome confusionnel, une dépression ou les complications d’un traitement médicamenteux. Si le diagnostic est confirmé, il y a des…- Recherche
-
02 juin 2020
Stigmatisation familiale dans la maladie d’Alzheimer : une échelle de mesure française
Les personnes ayant reçu un diagnostic de démence neurodégénérative de type Alzheimer, comme leur entourage, subissent une stigmatisation au sein de leur famille, dont les conséquences sont nombreuses, expliquent Marianna Danko et ses collègues, du laboratoire Epsylon (EA4556) à l’Université Paul-Valéry-Montpellier 3. Non seulement, elles peuvent éprouver des réactions émotionnelles telles la peur, l’anxiété et des symptômes dépressifs, mais encore…- Recherche
-
02 juin 2020
Nouvelles têtes (3)
Eric Eygasier est le nouveau directeur général France de DomusVi, troisième opérateur privé de services aux personnes âgées en Europe. Âgé de 51 ans, il n’est issu ni du médico-social, ni du sanitaire, mais du commerce de détail. Implanté en France, en Espagne et en Chine, le groupe DomusVi gère plus de 300 résidences médicalisées, 16 résidences seniors, 5 hôpitaux…- Acteurs de l'écosystème Alzheimer