Recherche documentaire
La Fondation Médéric Alzheimer diffuse chaque mois une revue de presse nationale et internationale, 100 % digitale. L’équipe vous propose une sélection d’articles incontournables pour accéder à l’essentiel de l’information en un clic.
C’est une veille à 360 °qui s’intéresse aux personnes vivant avec la maladie d’Alzheimer et à leurs aidants, qu’ils soient familiaux, bénévoles ou professionnels mais aussi à l’environnement médical, social, juridique, politique et économique de la maladie.
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23 juillet 2020
Interventions à visée cognitive : de quoi parle-t-on ?
Pour le NICE, la stimulation cognitive est la participation de la personne à plusieurs activités et discussions (souvent en groupe), visant à l’amélioration générale du fonctionnement cognitif et social. La réhabilitation cognitive consiste d’abord à identifier les objectifs fonctionnels pertinents pour la personne malade, puis à travailler avec elle et avec sa famille pour atteindre ces objectifs. Il s’agit en…- Recherche
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23 juillet 2020
Interventions non médicamenteuses ou psychosociales ?
Dans ses dernières recommandations sur l’évaluation, la prise en charge et le soutien des personnes atteintes de démence et de leurs aidants, le NICE (National Institute for Health and Care Excellence, l’autorité publique britannique chargée de l’évaluation des traitements et de l’accompagnement social), ne parle plus ni d’interventions non médicamenteuses, ni d’interventions psychosociales mais d’interventions pour promouvoir la cognition, l’autonomie…- Recherche
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23 juillet 2020
Une réponse globale à la maladie d’Alzheimer, avec et sans médicaments
Depuis le 1er août 2018, les quatre médicaments symptomatiques de la maladie d’Alzheimer (donépézil, rivastigmine, galantamine, mémantine) ne sont plus remboursés par la Sécurité sociale. « Ce nouveau contexte nous incite à scruter davantage les pistes qui s’ébauchent dans le champ biomédical mais également au-delà », déclare Hélène Jacquemont, présidente de la Fondation Médéric Alzheimer. Les réponses non médicamenteuses, dont font partie…- Recherche
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23 juillet 2020
Consultation de crise
Pour éviter l’hospitalisation en urgence de personnes âgées atteintes de démence, qui a souvent des conséquences négatives, l’hôpital a deux approches principales : la consultation externe et l’hospitalisation de jour. Il faut généralement un long délai pour organiser une consultation externe et les hôpitaux de jour de gériatrie sont surchargés. En 2014, le centre mémoire de ressources et de recherche…- Recherche
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23 juillet 2020
Neuroleptiques : peut-on réellement réduire leur prescription en EHPAD ?
Les neuroleptiques restent largement utilisés en cas de troubles du comportement perturbateurs liés à la démence, alors qu’ils présentent des risques et ont un effet faible sur ces troubles. Dans sa thèse de doctorat en médecine sous la direction de Jean-François Guille à l’Université de Bordeaux, Abigaïl Favre a étudié l’évolution des prescriptions de neuroleptique en établissement d’hébergement pour personnes…- Recherche
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23 juillet 2020
Insomnie : attention aux benzodiazépines
Principalement indiquées pour le traitement des symptômes de l’anxiété et des troubles du sommeil sur de courtes périodes, les benzodiazépines sont largement prescrites dans les pays développés. En France, 30% des personnes âgées en consomment. Pour la Haute Autorité de santé, la prescription de ces médicaments ne doit pas être banalisée car, si elle facilite le sommeil, elle ne résout…- Recherche
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23 juillet 2020
Arrêt des médicaments symptomatiques de la maladie d’Alzheimer : quelles conséquences ?
Freddi Segal-Gidan, du centre Alzheimer de l’Université de Californie du Sud (Etats-Unis), rappelle que le traitement apporte un bénéfice clinique quand il existe des preuves d’amélioration, de stabilisation ou de ralentissement du déclin cognitif, sans effets indésirables inacceptables. Trop souvent, selon lui, un médicament symptomatique de la maladie d’Alzheimer est prescrit sans avoir eu une conversation initiale franche avec les…- Recherche
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23 juillet 2020
Conduite automobile : la conscience de ses propres capacités
Stella Fragkiadakis, et ses collègues, de l’hôpital universitaire Attikon d’Athènes, a mesuré la performance à la conduite sur simulateur de 27 conducteurs atteints de déficit cognitif léger et 26 conducteurs sans troubles cognitifs. Après le test, les chercheurs ont demandé aux participants d’auto-évaluer leur performance. Les personnes malades ont davantage de difficultés à estimer leur performance dans un environnement de…- Recherche
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23 juillet 2020
Conduite automobile : biomarqueurs de la maladie d’Alzheimer et capacité de navigation dans l’environnement chez les personnes sans troubles cognitifs
Samantha Allison et ses collègues, des départements de psychologie et sciences du cerveau de l’Université Washington à Saint-Louis (Missouri, Etats-Unis), ont étudié, auprès de 112 personnes âgées de 65 ans et plus, sans trouble cognitif clinique, le lien entre les performances à la conduite automobile et les concentrations de biomarqueurs de la maladie d’Alzheimer dans le liquide céphalo-rachidien. L’évaluation consistait…- Recherche
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23 juillet 2020
Conduite automobile : évaluer les fonctions qui régulent l’exécution des gestes
Aux Etats-Unis, les médecins trouvent souvent difficile d’évaluer la capacité à conduire des personnes atteintes de déficit cognitif léger ou de démence légère, et de décider quand ils doivent envoyer un certificat médical aux autorités de transport en vue d’un retrait de permis, rappellent Mark Rapoport et ses collègues, du département de psychiatrie du centre des sciences de la santé…- Recherche