Vivre deux fois, de María Ripoll
Société inclusive
« Du pain, des tomates, des terrasses valenciennes et des sudokus. Voilà le quotidien – très espagnol – d’Emilio (Oscar Martinez), ancien professeur de maths à l’Université. Un beau jour, le retraité peine à remplir la grille de chiffres. Diagnostic : une maladie d’Alzheimer naissante. Face à l’inéluctable oubli, il décide de partir en quête de Margarita, son amour de jeunesse, dont il conserve le souvenir du sourire et de la robe blanche au bord de l’eau. Perte de la mémoire, émoi adolescent, musique doucereuse… Tous les ingrédients de la tarte à la crème étaient réunis. Mais, contre toute attente, Vivre deux fois s’avère plus croustillant que prévu », écrit Julie Lassalle, de Télérama : « un road-movieléger sur Alzheimer qui laisse un bon souvenir. » Sur le blog des spectateurs d’Allociné, Claude DL est d’accord : « pourtant, partir d’une famille dont le grand-père est atteint de la maladie d’Alzheimer, sa fille (Inma Cuesta) trompée par son mari, enfin la petite fille (Mafalda Carbonell) atteinte d’un handicap moteur depuis la naissance, on pourrait penser qu’on va obligatoirement sombrer dans le drame déprimant. Grosse erreur : une tendresse infinie, des moments de rires francs et des acteurs éblouissants, en particulier la petite fille aux réparties hautes en couleur, font qu’on passe un moment positif, bien agréable. »
www.telerama.fr/television/sur-netflix,-vivre-deux-fois,-un-road-movie-leger-sur-alzheimer-qui-laisse-un-bon-souvenir,n6586480.php,10 janvier 2019. www.allocine.fr/film/fichefilm-258006/critiques/spectateurs/#review_1001888392, www.netflix.com/fr/title/80233408, 28 janvier 2020.