Tai chi chuan

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Date de rédaction :
01 décembre 2007

Lionel Nosjean, enseignant le tai chi chuan auprès de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, décrit le projet lancé en 2001 à l’hôpital de jour Bretonneau de Paris et proposé depuis dans d’autres hôpitaux de jour et accueils de jour. Debout ou assis, immobile ou en mouvement, le pratiquant de tai chi chuan va chercher à se situer : par une posture, une sensation, l’imitation d’un modèle, d’un geste, la pratique en groupe, l’attention réclamée ; par rapport à l’espace : le ressenti, la dimension, la direction, l’environnement du mouvement et de la posture; par rapport au temps : la répétition, la lenteur, la durée, le rythme du mouvement. Cela fonctionne avec des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Des progrès sont constatés dans les capacités gestuelles. Des séquences sont mémorisées et des gestes anticipés. Documents Cleirppa , octobre 2007.