Revue de Presse nationale et internationale février 2008

Échos d'ailleurs

Date de rédaction :
01 février 2008

Des neurologues des Universités Brown de Providence et de la Washington University de Saint Louis (Etats-Unis) ont suivi tous les six mois, pendant trois ans, cent vingt-huit conducteurs dont quatre vingt-quatre atteints de la maladie d’Alzheimer et quarante-quatre sans troubles de la mémoire, au plan cognitif, neurologique, visuel et physique, et de la conduite, avec un test standardisé. Le risque d’échec au test de conduite s’accroît de 6% par an à partir de l’âge de soixante-quinze ans. Les personnes au stade très léger peuvent conduire longtemps en sécurité. La fréquence des accidents chez les conducteurs malades a diminué au cours de l’étude, ce qui souligne l’intérêt des examens de conduite réguliers, mais qui peuvent aussi aboutir à un retrait de permis. 
www.medicalnewstoday.com, Neurology . Ott Br et al. A longitudinal study of drivers with Alzheimer disease , 24 janvier 2008.