Revue de presse nationale décembre 2006 / janvier 2007 et internationale janvier 2007

C’est la solution que préconise Marie-Jo Guisset-Martinez, responsable du pôle Initiatives locales à la Fondation Médéric Alzheimer. « Il faut que les équipes et notamment les psychologues aident les proches à cheminer dans l’acceptation du répit », par exemple en les invitant à se joindre au groupe une journée pour se familiariser, c’est-à-dire, bien souvent, se déculpabiliser. « L’hébergement de plusieurs jours est une prestation à développer, mais avec énormément de précautions car, là, la personne âgée est déracinée pendant quelque temps. » Autre piste : mélanger malades Alzheimer et autres personnes âgées dans le même accueil. En toute hypothèse, « il faut un réel projet d’accueil, de sociabilisation, de bien-être, de plaisir…pour la personne accueillie ».
Décideurs en gérontologie , décembre 2006-janvier 2007