Retarder la progression de la maladie grâce à la compréhension des effets néfastes des espèces réactives de l’oxygène
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Si la maladie d’Alzheimer est une affection fréquente dans la population vieillissante, le vieillissement n’est pas automatiquement synonyme de neurodégénérescence et de déclin de la mémoire.
Un article revient sur les changements métaboliques dans le cerveau, induits par la maladie d’Alzheimer et qui sont liés au stress oxydatif. Certaines voies sont identifiées comme des cibles potentielles d’intervention dans la maladie d’Alzheimer. Les processus métaboliques du cerveau peuvent être perturbés par un stress oxydatif, ce qui est l’un des principaux facteurs de la maladie d’Alzheimer. Lorsqu’un déséquilibre oxydatif se produit, des dommages cellulaires peuvent intervenir et causer notamment des dégâts au sein du système nerveux central.
De fait, identifier et comprendre en quoi les espèces réactives de l’oxygène peuvent conduire à des altérations et dérégulations permettrait d’élaborer de nouvelles options thérapeutiques pour retarder la progression de la maladie, notamment dans la population vieillissante.