Relic Review, de Natalie Erica James

Société inclusive

Date de rédaction :
20 avril 2020

Lorsque l’octogénaire Edna disparaît inexplicablement de sa maison, la mère célibataire Kay et sa fille Sam mettent de côté leurs différends sur la carrière sans but de Sam et la vie de bourreau de travail de Kay, pour se précipiter dans la maison de campagne de la famille. Elles trouvent une maison en ruinesremplie de notes affichées partout, de meubles éparpillés, de la nourriture laissée pour un animal de compagnie mort depuis des années, et de la pourriture qui se répand sur les murs et les portes. Bien sûr, Edna apparaît aussi mystérieusement qu’elle a disparu, et une présence insidieuse gratte et frappe à l’intérieur des murs, résume Rafael Motomayor, de Gamespot. « Le genre du cinéma d’horreur est mûr pour des histoires qui nous font affronter les ténèbres de la société et nos pires craintes », écrit David Rooney, du Hollywood Reporter. Le premier long métrage de la réalisatrice australienne Natalie Erika James, Relic, présenté au Festival américain de Sundance et aux Berlinales, est « une allégorie d’une efficacité inquiétante sur les ravages des troubles neurocognitifs », « un film qui fait froid dans le dos et qui va susciter quelques cris et beaucoup de larmes de la part du public. »

www.screenhub.com.au/news-article/news/digital/screenhub/screen-news-in-brief-festivals-conferences-seminars-glory-259669, 31 janvier2020. www.hollywoodreporter.com/review/relic-sundance-2020-1273891, 27 janvier 2020. www.gamespot.com/reviews/relic-review-a-terrifying-horror-movie-about-demen/1900-6417400/, 31 janvier 2020.