Protection sociale : le financement

Droit des personnes malades

Date de rédaction :
01 septembre 2008

La création d’une taxe sur le chiffre d’affaires des complémentaires santé pour diminuer le déficit de l’assurance maladie, puis de la taxe sur les revenus du patrimoine et les produits de placements, dont l’assurance-vie, pour financer la généralisation du revenu de solidarité active (RSA), préoccupe les assureurs, qui se considèrent par deux fois « placés devant le fait accompli de mesures unilatérales ». «Les prélèvements, même répétés, ne remplacent pas les réformes en profondeur dont le système français de protection sociale a besoin », selon Gérard de la Martinière, président de la Fédération française des sociétés d’assurance (FFSA).

Assurer , 10 septembre 2008.