Plan Alzheimer : humanisme

Droit des personnes malades

Date de rédaction :
01 février 2008

Le Collectif « Grande cause nationale 2007 » salue l’humanisme du nouveau plan, qui accorde à la personne malade, rétablie dans ses droits, un rôle d’acteur et apporte une attention particulière aux aidants. Pour Nicolas Sarkozy, la maladie d’Alzheimer représente une « fracture dans l’existence humaine » : « c’est l’altérité que nous ne voulons pas voir telle qu’elle est. Il est plus confortable de vivre dans l’individualisme ignorant de l’autre. La maladie d’Alzheimer exige de la solidarité et non de la résignation. «Le plan Alzheimer, c’est le primat de l’humain. Nous avons voulu mettre la personne malade au c�ur du plan. C’est l’honneur d’une civilisation d’apporter aide et protection à ceux qui sont devenus au fil des jours de véritables emmurés vivants. C’est l’honneur d’une civilisation de nouer sans relâche les liens entre générations ». « Comment ne pas être d’accord ? » déclarent les Ainés ruraux.
www.elysee.fr , 1er février 2008. Le Monde, Le Figaro , 2 février 2008. www.senioractu.com , 4 février 2008. www.agevillagepro.com , 5 février 2008. www.ainesruraux.org , 7 février 2008.