Plan Alzheimer : apports et manques (1)

Droit des personnes malades

Date de rédaction :
01 mars 2008

Les associations applaudissent la prise en compte du binôme malade-aidant, le décloisonnement entre le sanitaire et le médico-social, la professionnalisation, la création de maisons pour l’autonomie et l’intégration des malades d’Alzheimer (MAIA). Elles s’inquiètent des annonces relatives aux unités renforcées. Guy Le Rochais, vice-président délégué de l’association France Alzheimer, salue la notion de consentement de la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer :« laisser entendre qu’une personne atteinte de pathologie Alzheimer n’est plus un être humain, n’a plus son mot à dire dans un certain nombre de décisions est insupportable » déclare-t-il, tout en s’interrogeant : « l’intervention d’un psychiatre est essentielle, mais ne vaudrait-il pas mieux proposer un établissement spécialisé qui corresponde aux différentes étapes de la maladie ? » 
www.secours-catholique.asso.fr , 13 février 2008. www.agevillage.com , 18 février 2008.Actualités sociales hebdomadaires , 15 février 2008. La Gazette santé-social , mars 2008.