Vers une reconnaissance de la « poupon thérapie » ?
Interventions non médicamenteuses
Sur un total de 295 participants à l’étude (dont 79 % de femmes) de 85 ans en moyenne, il a été constaté une réduction des comportement difficiles et agressifs des malades qui ont expérimenté une thérapie non médicamenteuse par l’intermédiaire d’une poupée. « Les participants étaient moins rudes et irritables, et leurs capacités de communication et leur état émotionnel étaient également améliorés. » Les résultats de l’étude suggèrent donc que la poupon thérapie « améliore l’état émotionnel des personnes » et « favorise la communication. »