Des connaissances à parfaire en Norvège
Échos d'ailleurs
Il existe des facteurs de risque modifiables de la maladie d’Alzheimer. Mais on ignore dans quelle mesure le grand-public connaît la relation entre le mode de vie et la santé du cerveau.
Cette étude avait pour objectif d’examiner les connaissances sur les facteurs de risque et de protection modifiables de la maladie d’Alzheimer dans un sous-échantillon de la population norvégienne sélectionné au hasard.
L’étude porte sur 1 435 personnes âgées de 40 à 70 ans de quarte régions de Norvège.
Les résultats indiquent que 70 % des participants sont conscients du potentiel de réduction du risque de maladie d’Alzheimer en général. Si l’inactivité physique et l’isolement social sont reconnus par plus de 80 % des participants comme facteurs de risque, leurs connaissances présentent des lacunes importantes, notamment en ce qui concerne les facteurs de risque cardiovasculaire tels que l’hypertension, les maladies coronariennes, l’hypercholestérolémie et les facteurs métaboliques (diabète, obésité).