Droit au répit : du retard...
Acteurs de l'écosystème Alzheimer
C’est ce que constate le Groupe de réflexion et réseau pour l’accueil temporaire des personnes handicapées (GRATH), selon lequel seuls 0,5% des besoins seraient aujourd’hui couverts. « Ce n’est pas, dit Jean-Jacques Olivin, président du GRATH, qu’une question de moyens. Cela suppose aussi, pour les professionnels, de nouveaux modes d’organisation, plus souples et plus réactifs. » Trouver un bon mode d’articulation entre les aidants familiaux et les professionnels, voilà un équilibre difficile à régler. « Les aidants sont souvent des personnes qui souffrent sans le savoir et qui éprouvent, en outre, de la culpabilité à demander de l’aide », remarque une psychologue attachée à un réseau d’aide.
SantéSocial , décembre 2006