Etre aidant, ça s’apprend

Acteurs de l'écosystème Alzheimer

Date de rédaction :
01 août 2007

Bien souvent, au sein de la famille, un aidant principal prend en chage la personne malade. Pour Bernard Croisile, neurologue et responsable du Centre mémoire de ressources et de recherche (CMRR) de Lyon, il joue le rôle de fusible. S’il s’épuise, la personne malade s’effondre. L’aidant est obligé de s’adapter en permanence : difficultés de la personne malade à accomplir les tâches de la vie quotidienne, fugues, dépenses inconsidérées, agressivité, apathie. Règle n°1 : éviter les contrariétés : la moitié des troubles du comportement est générée par l’entourage. Argumenter ne sert à rien sinon à mettre la personne malade en échec. Il faut être calme et rassurant. 
www.pelerin.info , 3 septembre 2007.