Qui croire : la personne malade ou son infirmière ?
Échos d'ailleurs
« Ma grand-mère se plaint que son infirmière arrive en retard et part en avance, ce que dément l’infirmière. Si c’est vrai, que peut faire la famille quand l’infirmière rejette le « mensonge » sur la maladie ? Ma grand-mère est aussi convaincue que quelqu’un vient la nuit dans ses toilettes et laisse une flaque d’urine. Est-ce vrai ou faux ? et si c’était vrai et que personne ne s’en occupe? ». Confrontée à ce courrier d’une famille, Carol Busack, journaliste américaine en charge de la rubrique « personnes âgées » du journal Health Central, répond qu’il n’y a pas de réponse univoque. Les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer sont vulnérables, et il faut en effet s’assurer avec la plus grande attention qu’elles ne sont pas maltraitées, mais que la réalité perçue à travers les yeux de la personne malade peut être très différente de celle des aidants. www.healthcentral.com , 4 septembre 2007.