The Taking of Deborah Logan, d’Adam Robitel

Société inclusive

Date de rédaction :
21 janvier 2015

« Préparant une thèse sur la maladie d’Alzheimer, Mia va s’intéresser au cas de Deborah, une mère atteinte de la maladie en compagnie de sa fille Sarah. Suivant le quotidien de cette famille perturbée par les prémices de la maladie, Mia va rapidement s’apercevoir que la maladie d’Alzheimer n’est pas uniquement en cause, car quelque chose de démoniaque est bien décidé à profiter de la situation… » La bande-annonce a été vue plus de huit cent mille fois sur YouTube. « Certains trouveront de fort mauvais goût l’idée d’associer le drame bien réel de la maladie d’Alzheimer à une histoire de possession, dans le cadre d’un petit film d’épouvante sans autre ambition que celle de créer le malaise, le suspense et la peur », écrit Louis Danvers dans le journal belge Le Vif. « Sans atteindre aucun sommet, il remplit son contrat avec le spectateur avide de sensations étranges et de terreur rampante. » Le Vif a choisi comme illustration une photo de la vieille dame le visage tordu et la bouche ouverte, qui n’est pas sans rappelait le personnage central du Cri (1893) dans le tableau du peintre expressionniste norvégien Edvard Munch, qui voulait évoquer « un cri infini qui se passait à travers l’univers et qui déchirait la nature. »